Entrez dans les coulisses de la visite de P.K.
Il y avait de l’électricité dans l’air aux 8e et 9e étages du Children. Déjà la veille, avec l’aide du personnel, les parents d’enfants hospitalisés avaient été avisés qu’une grande surprise se préparait : le porte-parole du Children, le populaire hockeyeur de la LNH, P.K. Subban, viendrait faire son tour avec des coéquipiers des Predators de Nashville.
Certains parents consultaient leur enfant, d’autres se réjouissaient à la perspective de pouvoir remercier P.K. en personne : « Voilà 6 semaines que je suis à l’hôpital avec mon garçon de 18 mois, dit Samantha. Zen-Luka est sous médication, il ne peut pas bouger et dépenser son énergie. D’avoir un accès gratuit au wifi et à la télévision, ça nous sauve énormément. Merci P.K. ! », lui dira-t-elle, émotive lorsque les joueurs seront dans sa chambre.
Un des patients à qui on a tenu la visite secrète – volontairement – c’est Loïc, un adolescent lourdement handicapé pour qui P.K. voue une admiration sans bornes. « Ne vous inquiétez pas, on va s’assurer qu’il sera prêt pour sa venue », assure son infirmière. « Et on promet de garder la surprise ! » Aucun mot ne pourrait décrire la joie qui habitait Loïc lorsqu’une marée de chandails jaunes a afflué dans sa chambre.
« Heille, je te reconnais, toi ! », lance P.K. à Maxence, un garçon qu’il avait rencontré il y a plus de deux ans. « La dernière fois que je t’ai vu, tu portais un gros casque tout autour de la tête. Et maintenant te voilà, sans rien ! »
Les yeux brillants, Maxence est impressionné de voir tous ces grands joueurs autour de lui. Lui aussi veut jouer au hockey plus tard, comme défenseur. Le capitaine Josi se prête au jeu : il devient gardien de but le temps d’une confrontation amicale. Maxence enfile un tour du chapeau. Il est l’enfant le plus fier du monde.
Alors que la clameur grandit dans les corridors de l’hôpital, dans un couloir non loin, Élyse tente de garder son clame. L’adolescente, une fan finie de hockey, mais surtout, de P.K. peine à retenir son excitation. « De rencontrer P.K., c’est mon rêve », confie-t-elle.
P.K. a mis bien des sourires aux visages de nos patients alors qu’ils traversent des moments difficiles. Merci P.K., et merci à tes coéquipiers Scott Hartnell, Ryan Johansen, Matt Irwin, Anthony Bitetto, Roman Josi et Nick Bonino.
Certains parents consultaient leur enfant, d’autres se réjouissaient à la perspective de pouvoir remercier P.K. en personne : « Voilà 6 semaines que je suis à l’hôpital avec mon garçon de 18 mois, dit Samantha. Zen-Luka est sous médication, il ne peut pas bouger et dépenser son énergie. D’avoir un accès gratuit au wifi et à la télévision, ça nous sauve énormément. Merci P.K. ! », lui dira-t-elle, émotive lorsque les joueurs seront dans sa chambre.
Un des patients à qui on a tenu la visite secrète – volontairement – c’est Loïc, un adolescent lourdement handicapé pour qui P.K. voue une admiration sans bornes. « Ne vous inquiétez pas, on va s’assurer qu’il sera prêt pour sa venue », assure son infirmière. « Et on promet de garder la surprise ! » Aucun mot ne pourrait décrire la joie qui habitait Loïc lorsqu’une marée de chandails jaunes a afflué dans sa chambre.
« Heille, je te reconnais, toi ! », lance P.K. à Maxence, un garçon qu’il avait rencontré il y a plus de deux ans. « La dernière fois que je t’ai vu, tu portais un gros casque tout autour de la tête. Et maintenant te voilà, sans rien ! »
Les yeux brillants, Maxence est impressionné de voir tous ces grands joueurs autour de lui. Lui aussi veut jouer au hockey plus tard, comme défenseur. Le capitaine Josi se prête au jeu : il devient gardien de but le temps d’une confrontation amicale. Maxence enfile un tour du chapeau. Il est l’enfant le plus fier du monde.
Alors que la clameur grandit dans les corridors de l’hôpital, dans un couloir non loin, Élyse tente de garder son clame. L’adolescente, une fan finie de hockey, mais surtout, de P.K. peine à retenir son excitation. « De rencontrer P.K., c’est mon rêve », confie-t-elle.
P.K. a mis bien des sourires aux visages de nos patients alors qu’ils traversent des moments difficiles. Merci P.K., et merci à tes coéquipiers Scott Hartnell, Ryan Johansen, Matt Irwin, Anthony Bitetto, Roman Josi et Nick Bonino.
